L'année du lancement sur le marché, 1974, est avant tout dans les mémoires de Roman Reuteler, car l'Allemagne est devenue championne du monde de football. Le jeune homme, alors âgé de 13 ans, ne connaissait rien de la borne pour boîte de dérivation, et encore moins de son inventeur, la société Wago GmbH Co. KG, située à Minden, dans le centre de l'Allemagne. Mais, comme le veut le hasard, ces solutions de connexion astucieuses allaient l'accompagner pendant presque toute sa vie professionnelle !
Roman Reuteler a développé sa passion pour la technique dès son plus jeune âge. À 11 ans, il a démonté un Puch Velux X30, l'a repeint et l'a réassemblé. Cependant, celui-ci ne voulait pas redémarrer par la suite. Ainsi, tous les composants importants comme les distributeurs d'allumage ou les arbres à cames ont été inspectés, nettoyés et réglés.
« Après cela, la moto a tourné comme une horloge », assure-t-il. Après cette expérience réussie, il était clair qu'il allait entreprendre une carrière technique plus tard. Cette décision a été suivie par des actes en 1978 : Roman Reuteler a signé un contrat d'apprentissage d'électromécanicien chez l'ancien fabricant de camions et de machines à tisser Saurer à Arbon.
"Pour la borne de la série 221, le concepteur a beaucoup réfléchi."
Roman Reuteler à propos de sa borne préférée de WAGO
Pendant ses quatre ans de formation, le jeune homme a appris les bases de l'électrotechnique et maniait sans cesse des boîtes de dérivation à vis et des barrettes à bornes. « J'ai utilisé les barrettes à bornes et je n'ai jamais réfléchi à la possibilité d'une meilleure solution », dit-il avec le recul.
Cette meilleure solution, il l'a eue en main pour la première fois après sa formation et son départ chez Saurer : une borne pour boîte de dérivation de WAGO ! Il les a installés dans un entraînement électrique de porte et a été enthousiasmé par leur manipulation. « Elle m'a grandement facilité le travail », se souvient-il. Il ne sait cependant plus quel type de borne pour boîte de dérivation il utilisait : « J'ai tout simplement pris ce dont j'avais besoin dans la boîte. Pendant longtemps, je ne savais même pas que ces bornes étaient fabriquées en Suisse. » Mais la passion pour le produit a été éveillée et il était désormais clair qu'il y avait vraiment mieux que les barrettes à bornes habituelles.
À un moment donné, l'activité d'assemblage a perdu son attrait, c'est pourquoi le natif de Rorschach s'est mis en quête d'un nouveau défi. Il l'a trouvé dans sa fonction de concierge de l'hôtel « Hof Weißbad» et trouva un autre domaine d'application pour les bornes pour boîtes de dérivation. « Avec les bornes WAGO avec leviers de la série 222, j'y ai entre autres réalisé une commande de charge de pointe », décrit-il. Certes, elles ne sont pas toujours idéales, surtout lorsqu'il faut brancher quelque chose « à posteriori», mais en matière de fiabilité, rien ne surpasse la «WAGO». C'est pourquoi il a lui-même misé sur elle lorsqu'il a installé des conduites surdimensionnées dans le chalet. Le but est d'utiliser cinq fours à raclette d'une puissance de chauffage de 10 kW lors d'une soirée conviviale, sans mettre le feu à la maison en bois à cause de conduites surchauffées.
Après quelques années passées dans l'hôtellerie, Roman Reuteler a été attiré par l'activité de service, domaine dans lequel il est entré pour la première fois en contact avec la borne WAGO de la série 221. « Elle est super. Leur concepteur a beaucoup réfléchi ", dit-il en louant le dernier né de la gamme de bornes pour boîtes de dérivation. Ce n'est pas seulement la conception et la manipulation qui le convainquent, mais aussi les accessoires supplémentaires tels que l'adaptateur de fixation qui permet d'utiliser la borne de la série 221 même dans la construction d'armoires de commande. Un détail qui fait plaisir à cet homme de 63 ans est que sa borne préférée est fabriquée par WAGO Contact SA, à Domdidier, dans le canton de Fribourg. Il trouve bien sûr tout à fait sympa qu'elles existent même entre-temps dans une version bio avec des leviers verts.
Depuis deux ans et demi, Roman Reuteler travaille dans une PME de la vallée du Rhin, où il est responsable de l'entretien et de la réparation de grosses machines. Il n'a certes plus autant besoin de bornes pour boîtes de dérivation mais elles ne disparaîtront jamais de sa vie. « Récemment, un collègue a déménagé et je lui ai installé les luminaires », dit-il avant de rajouter. « Qu'utilise-t-on pour cela ? Bien sûr, WAGO, quoi d'autre ! »