Dans le secteur industriel, il est courant d'avoir recours à différentes formes et différents types de financement qui ne se limitent pas au crédit-bail. Le nouveau « Head of Kögel Financial Services » a pour mission de les structurer et de les développer à l'échelle européenne. Le but : adjoindre au devis concernant les semi-remorques une offre de financement dont les conditions sont adaptées au marché. Cela présente de réels avantages pour le client, qui n'a ainsi qu'un seul interlocuteur : « Il est en mesure de prendre une décision rapide », précise Sebastian Volbert. Et : « Un financement des ventes structuré à l'échelle européenne accélèrera l'internationalisation et renforcera la position de Kögel sur le marché. »
En s'adjoignant les services de Sebastian Volbert, Kögel a choisi un homme qui jouit d'une grande expérience, tant dans le domaine du financement des ventes que dans celui des véhicules utilitaires. Avant de rejoindre Kögel, ce Westphalien d'origine travaillait au sein du département financier d'un grand fabricant de poids lourds et de bus, où il gérait les grands comptes internationaux. Il était auparavant chargé de la gestion des fournisseurs de matériel de transport et d'engins agricoles et de chantier pour une société de crédit-bail internationale, qu'il avait rejointe après avoir travaillé pour un fabricant allemand de remorques, semi-remorques et carrosseries. Il y occupait le poste de directeur du financement des ventes pour l'Europe et était chargé du financement des projets.
En prenant ses fonctions chez Kögel, Sebastian Volbert entre dans un nouveau monde. Et il le fait avec un objectif clair : « Un financement des ventes structuré est un élément moteur important pour la vente et présente de gros avantages pour nos clients ! »
« Kögel Finance proposera bientôt en direct aux clients d'autres services intéressants », affirme Josef Warmeling, membre de la direction de Kögel. « Nos clients sont d'ores et déjà demandeurs de ces services, et nous serons bientôt en mesure de les leur fournir. Nous pensons qu'une grande partie des semi-remorques qui quitteront l'usine à l'avenir bénéficieront d'une solution de financement. »